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18 août 2011 4 18 /08 /août /2011 17:40

Des moments comme ça ou le blues m'emportent.

Quand-je-ferme-les-yeux.JPG

Quand je ferme les yeux, c'est à toi que je pense. 
Ton regard, tes cheveux, la chaleur de ton corps 
Qui enserrant le mien, me fit perdre le nord, 
Le bruit de ton cœur tendrement me balance. 

Quand mes pensées s'envolent, malgré tous mes efforts, 
Que la beauté fait place à cette triste noirceur, 
Je sens alors les larmes et l'infinie douleur 
Rappeler à mon cœur comme je suis seul encore. 

Comment pourrais-je trouver ce si parfait amour 
Qui éblouit mes nuits mais vient hanter mes jours, 
Que j'aimerais tant crier par delà les montagnes, 
Si je n'accepte pas de me livrer bataille. 

Mettre fin à ma peine, arrêter mon parcours ! 
J'y ai pensé jadis dans mes plus tristes jours. 
En effet j'aime les hommes au lieu d'aimer les femmes 
Et je n'ose avouer ce si 'terrible drame'. 

Comment leur faire comprendre à tous ces beaux penseurs 
Que je ne fais que suivre ce que me dis mon cœur, 
Que lorsqu'il y a l'amour, il n'y a pas de pêché 
Et jamais aucun frein ne pourra l'arrêter. 

Après tout moi aussi j'ai droit à être heureux. 
Je n'ai jamais rien fait de si mauvais mon Dieu. 
Alors je vais me battre même si ce sera long. 
J'y parviendrai c'est sur, je trouverai ce garçon. 

Quand je repenserai à ces tristes moments 
Durant lesquels jadis je voilais mes penchants 
Conscient au fond de moi que j'ai bien de la chance 
De vivre dans l'amour cette petite différence. 

Cela rajoute en fait du piquant dans ma vie 
Comme ces simples passants une copie je ne suis 

J'ai enfin quelque chose pour me différencier 
Sans réclamer j'échappe à la banalité.

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3 août 2011 3 03 /08 /août /2011 08:57

gay-douleur.jpg

Depuis ce début d'année je ne peux n’empêcher de pleurer

Je ne peux m’empêcher de penser que cela peut durer 

Car personne ne sait encore ce qui a pu m’arriver et provoquer

cette douleur qui je l’espère ne fait que passer

Mais c’est de cela que je veux vous parler

car je ne sais comment l’exprimer


Une souffrance et entrée en moi et ne veut plus ressortir

même face aux médecins qu’on a pu rencontrer 

Cette souffrance m’a fait arrêter certaines choses

dont je ne peux me passer

Elle ne m’a pas aidé à avancer contre tous les obstacles

que j’ai pu rencontrer

Et au fur et à mesure que je vois les jours défiler

je me demande si ça peut se soigner 

Mes yeux mouillés de tristesse ne peuvent s’empêcher

de verser leurs larmes 

La colère est arrivée

alors que le moral et parti voyager 

Mon cœur bourré de sentiments est beaucoup

trop lourd à porter 

Mais la vie peut continuer même si la douleur veut rester

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14 juillet 2011 4 14 /07 /juillet /2011 12:57

Gay_Pack_N-02-0040.jpg

A tout moment, quoi que je fasse
C’est fou comme je pense à toi
Depuis que tu m'as quitté
Tu obsèdes mes pensées.
 
Quand mon chemin croise un bel homme
Je pense à toi et, à cette pensée je m’enflamme
Il est des choses qui peuvent paraitre étranges
Mais, pas un n’arrive à la cheville de mon ange.
 
Que je traverse une forêt, une ville ou un jardin
C’est vers toi que vole mon esprit libertin
Si une affiche me montre le corps d’un dieu
Celui que je vois est celui qui m'a fait ses adieux.
 
Je ne reste jamais sans penser à toi très longtemps
Le son de ta voix résonne toujours à mes tympans
J’aime ta présence invisible à mes côtés
Si j’ai un petit coup de blues, elle le fait reculer
 
Même quand tu es loin de moi
Toujours, je pense à toi
Tu peux dormir rassuré
Tu es de toutes mes pensées
 
Je t’embrasse follement mon bébé
Vers toi volent des millions de baisers
Même si l’idée que tu m’oublies me fait peur
Il ne cessera jamais de battre pour toi mon cœur.
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2 juillet 2011 6 02 /07 /juillet /2011 17:52

derive.jpg

Seul à bord, j’ai du mal à passer l’orage
Surtout depuis que l'espoir n'est plus du voyage
Même si une île est probablement devant
Personne ne m’y attend vraiment
Presque à terre je n’arrive plus à y croire
Et de toute façon je ne sais pas boire
Pas un homme, une bête de foire
Ce n’est pas assez pour marquer les mémoires
Pourtant j’en ai des souvenirs
Et dans certains j’entends même vos rires
Qui résonnent en moi jusqu’aux éclats,
ais les yeux ouverts vous n'êtes plus là.


Je suis dans un sale état
Et tous les jours ça empire
Dans ce costume de paria
Je suis mal à l’aise, c’est peu de le dire
Impossible de prétendre au martyr
Quand on s’est comporté en Judas
Certaines voies ne s’empruntent pas
Leur seule issue est de vous bannir
Des cœurs purs qui voulaient vous chérir
La trahison c’est ce qu’il y a de pire
Quand on postule à cette vie là, il y a des actes qui ne pardonnent pas.

Comme seul océan où naviguer
Cette traversée est en train de me crever
Et je survis la gorge nouée
Perdu dans cette immensité
Je ne me suis jamais préparé à ce naufrage
Et il est trop tard pour avoir la rage
Ou regretter des décisions plus sages
Dire que j’ai bâti ma propre cage
Tout semble indiquer que mon embarcation va sombrer
Putain, je n’ai même pas une bouée
De toute façon en quoi aurait-elle pu m’aider, au mieux continuer à dériver.

Si loin de toi, tout est si triste en moi
Et puis avec le temps, on n’a plus foi en soi
Ça fait tellement mal jusque dans les entrailles
Cette mélancolie m’a mis sur la paille
Je pensais être paré pour toutes les batailles
Mais sans vous, c’est la pagaille
Le spleen a englouti mon énergie
Il est présent à chaque heure de ma vie
Que ce soit le jour ou la nuit
Il ne me laisse aucun répit
Et toute résistance reste vaine, il sent bien que j’ai le cœur en peine.

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1 juillet 2011 5 01 /07 /juillet /2011 18:14

Tu étais ma gourmandise ma faim insatiable
Je te mangeais matin, midi et même le soir
Je te savourais la nuit et même le jour sans le vouloir
Tu étais ma gourmandise mon parfum délectable.

Tu étais ma gourmandise que je savourais du bout des lèvres
Je t'effleurais je dévorais et je goûtais ce fruit défendu
Je ne pouvais pas m'arrêter quand j'y goûtais 
Mais que c'était bon cette sensation, cette chaleur inattendue !

Tu étais ma gourmandise ou j'aimais glisser mes doigts fins
Tu étais cette perfection, cette douceur aux jolies formes,
Ne laissant rien et saisissant chaque recoin,
Tu étais mon dernier repas avant que je m'endormais.

Tu étais ma gourmandise et je laissais monter mon émoi,
Je raffolais de ces plaisirs, de toute cette gourmandise
Tu étais ce désir sans faim, il n'y a que ça qui m'électrisait
J'avais cette envie à chaque instant, j'avais cette suave faim de Toi.

bisou

Cette gourmandise est partie le jour que tu m'as quitté.

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24 juin 2011 5 24 /06 /juin /2011 13:00

Il est des mots et des images qui restent gravées à jamais

Comme un album de souvenir, dans ma mémoire ils sont stockés.

Certains évoques des moments tendres,

D’autres moins doux se font entendre.


Mais même dans les moments de tristesse

Ce ne sont plus des mots qui blessent

Ils ont perdu leur fils tranchants

Ils ne font plus souffrir autant.


Sans doute ai-je assimilé

Toutes ces choses qui font pleurer

Et dans le livre de ma vie

Que je feuillette quand vient la nuit


Je me surprends à constater

Les moments sombres sont fanés

Ils déambulent dans mes pensées

Noyés dans un brouillard épais.


Alors que les moments bonheur

Eux, ont su garder leur splendeur

Je peux sentir encore la joie

Que j’éprouvais ces moments là


Alors que les douleurs vilaines

Passent par là et puis s’éteignent.

C’est un peu comme les nuages

Qui passent sans qu’il y ait l’orage.


Ils restent des pages vierges à mon livre

Où j’y mettrais les moments à vivre

Et je sais parce que j’ai appris

Au fil des jours et de ma vie


Que les épreuves qui m’attendent

Viendront aux pages se suspendrent

Et que mes heures de bonheur

Y mettrons leur touche de couleur.


Bien plus tard quand je serai vieux

Ce livre sera ma merveille

Je pourrai venir y relire

Les pleurs de ma vie, et les rires


Avec un air mélancolie,

Je penserai à ses soucis

Mais avec une grande sagesse

Je savourerai ma vieillesse.


Oh oui les peines font grandir

Et font parties des souvenirs

Parce que la vie est ainsi faite

De belle victoires et défaites. 

Gourmand.


faire-l-amour.jpg

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24 juin 2011 5 24 /06 /juin /2011 12:45

plume

Si ma main était une plume

et mon coeur un encrier, je

prendrais deux gouttes de

mon sang pour t'écrire :

JE T'AIME

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  • : Il était une fois un homme amoureux quand soudain l'être aimé lui dit : C'est fini Par le biais de ce blog, j'ai l'envie de m'exprimer avec mes photos, mes coups de gueule, mes confessions, des poèmes, des chansons, etc.
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